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« Moins qu’un numéro un et plus qu’un numéro deux » : l’expression de son biographe Pierre-François Pinaud résume bien le rôle de Jean-Jacques-Régis de Cambacérès, Second consul de 1800 à 1804 et archichancelier de l’Empire de sa proclamation à sa chute. Ce dossier thématique permet de mieux comprendre la
Jean Jacques Régis de Cambacérès, 1a Duko de Parmo, 1a Duko de Cambacérès (18a de Oktobro 1753 – 8a de Marto 1824) estis franca nobelo, politikisto, juristo kaj ŝtatestro dum la Franca Revolucio kaj la Unua Imperio, plej bone memorita kiel unu el la aŭtoroj de la Napoleona Kodo, [1] kiu ankoraŭ formas la bazon de la Francia civila ...
Membre de la Convention, député au Conseil des Cinq-Cents, ministre et pair des Cent-Jours, né à Montpellier (Généralité de Montpellier), le 18 octobre 1753, mort à Paris, le 8 mars 1824, d'une vieille famille de noblesse de robe, et fils d'un conseiller en la Cour des comptes, aides et finances de Montpellier, dont le frère Etienne Hubert, comte de Cambacérès (1756-1818) fut membre ...
Jean-Jacques Régis de Cambacérès, Mémoires inédits… ; Éclaircissements publiés par Cambacérès sur les principaux événements de sa vie politique, préface de Tulard (J.), Chatel de Brancion (L.) (éd.), Paris, Perrin, 1999.
Jean-Jacques Régis Cambacérés. Montpellier, 18 octobre 1753 - Paris, 8 mars 1824. Il naît le 18 octobre 1753 au sein d’une famille d’ancienne noblesse de robe montpelliéraine. Après des études de droit, homme des Lumières, libertin et franc-maçon, mais aussi Pénitent blanc, il entre à la Cour des comptes du Languedoc.
En 1808, Jean-Jacques Régis de Cambacérès l'acquiert, ainsi que l'hôtel de Lesdiguères qui lui est contigu. Il y réside jusqu'à son départ pour l'exil en 1816 ; il le vend alors à la duchesse de Penthièvre, veuve de Philippe-Egalité et mère du futur roi Louis-Philippe Ier.
Jean-Jacques Régis de Cambacérès Jean-Jacques Régis de Cambacérès Homme d'État et juriste français (Montpellier 1753-Paris 1824). Conseiller à la Cour des comptes de Montpellier (1771), rédacteur des cahiers de la noblesse de Montpellier, président du tribunal criminel de l'Hérault (1789), il est élu député à la Convention (1792), où il vote, mais avec réserve, la mort du roi ...
