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Bessières was a vigorous reserve officer but prudent and circumspect. He was to be seen in all the great battles performing the greatests of services. And this was indeed the role he played in all the Napoleonic campaigns until his death on 1 May, 1813. Bessières was born on 6 August, 1768, in Prayssac (Lot) near Cahors in southern France ...
Jean-Baptiste Bessières. Jean-Baptiste Bessières [ʒɑ̃ batist bɛsjɛʁ] (naskiĝis la 6-an de aŭgusto 1768 en Prayssac, mortis la 1-an de majo 1813 en Weißenfels ), unua Duko de Istrio ( france Duc d'Istrie ), estis franca armea komandanto kaj Marŝalo de la Imperio kiu deĵoris ambaŭ dum la Francaj Revoluciaj Militoj kaj la Napoleonaj ...
The son of a surgeon, Jean-Baptiste Bessières was sent at age fourteen to the school at Cahors. While there he met and befriended Joachim Murat, but he was forced to leave the school in 1787 due to his family's financial troubles. With the arrival of the French Revolution in 1789, Bessières joined the National Guard of Prayssac.
Bessières accourt au galop et charge à la tête de sa cavalerie, culbute les cosaques et leur tue un millier d'hommes. À l'ouverture de la campagne de Saxe, en 1813, il est appelé au commandement en chef de toute la cavalerie de l'armée, mais, dès les premiers engagements, reçoit un boulet en pleine poitrine et trouve la mort. Son aide ...
Jean-Baptiste Bessières, hertig av Istrien, född 6 augusti 1768 och död 1 maj 1813, var en fransk militär. Han var bror till Bertrand Bessières . Bessières tjänstgjorde först i Ludvig XVI:s konstitutionella garde, deltog därefter i flera fälttåg och kom 1796 till italienska armén, där han genom sin tapperhet ådrog sig Napoleon I :s uppmärksamhet och vann hans förtroende.
Jean-Baptiste Bessières, duc d'Istrie, né le 6 août 1768 à Prayssac dans le Quercy et mort au combat le 1er mai 1813 à Weißenfels, dans le royaume de Saxe, est un militaire français, élevé à la dignité de maréchal d'Empire par Napoléon en 1804.
Fils de chirurgien, bon élève lors de ses études à Cahors, Jean-Baptiste Bessières assiste son père dans son cabinet médical lorsqu'éclate la Révolution. Il s'engage dans la Garde du Roi puis dans la Garde Nationale en 1792 et prend rapidement du galon, avant d'entrer dans l'arme qu'il ne quittera plus jusqu'à sa mort : la cavalerie.
