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  1. Charles Augustin Sainte-Beuve. Портрет на Сент-Бьов от Бертал, ок. 1860 г. English: Charles Augustin Sainte-Beuve (or shortly: Sainte-Beuve) (December 23, 1804 – October 13, 1869) was a literary critic and one of the major figures of French literary history.

  2. Biografia. Sainte-Beuve nacque a Boulogne, al numero 16 della casa di rue du Pot d'Etain, in un edificio tuttora esistente e trasformatosi in albergo.Il padre, che Charles Augustin non conobbe mai (morì due mesi prima della sua nascita), Charles-François, era un esattore delle imposte che si interessò molto di letteratura; la madre Augustine era di origini inglesi e di scarsa istruzione, ma ...

  3. Le symbole de la critique littéraire. Contre Sainte-Beuve, de Proust, résume assez bien par son titre même l'attitude de la pensée contemporaine à l'égard de celui qui passe encore pour le symbole de la critique littéraire. En effet, nombreux sont les motifs du discrédit qui l'a frappé.

  4. Charles-Augustin Sainte-Beuve erhielt seine Schulbildung in Boulogne-sur-Mer und im Pariser Lycée Charlemagne und studierte danach Medizin an der Universität Lüttich. Nachdem er 1827 eine lobende Kritik über die Oden und Balladen von Victor Hugo veröffentlicht hatte, befreundeten sich die beiden.

  5. Charles Augustin. Sainte-Beuve. Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ». Écrivain et critique français (Boulogne-sur-Mer 1804 – Paris 1869). À la faveur de quelques articles admiratifs dans le Globe (2-9 janvier 1827), Sainte-Beuve devient l'ami de Hugo et milite à ses côtés dans le ...

  6. Causeries du lundi, series of informal essays by Charles Augustin Sainte-Beuve. The 640 critical and biographical essays on literary topics and French and other European authors were published weekly in several Paris newspapers, on Mondays, over the course of 20 years from 1849 to 1869. The essays were collected in the 15-volume Causeries du ...

  7. Oh ! combien je préfère à ce caquet si vain, Tout le soir, du silence, — un silence sans fin ; Être assis sans penser, sans désir, sans mémoire ; Et, seul, sur mes chenets, m'éclairant aux tisons, Écouter le vent battre, et gémir les cloisons, Et le fagot flamber, et chanter ma bouilloire ! Charles-Augustin Sainte-Beuve.