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  1. Vincent AURIOL. Né le 27 août 1884 à Revel (Haute-Garonne), il devient avocat au barreau de Toulouse. Adhérent à la SFIO dès sa création en 1905, il est cofondateur du journal Midi socialiste en 1908. Député socialiste de Muret en mai 1914, il en devient maire en 1915. Il préside la commission des Finances de la Chambre (1924-1926).

  2. Vincent Auriol. Vincent Auriol (ur. 27 sierpnia 1884, zm. 1 stycznia 1966) – polityk francuski . Przed I wojną światową związał się z socjalistyczną partią SFIO (w 1914 został deputowanym [1] ), kierowaną najpierw przez Jeana Jaurèsa a następnie Leona Bluma. W okresie rządów Frontu Ludowego zasiadał w gabinecie tego ostatniego.

  3. Vincent Auriol ressentit le besoin de s’implanter au cœur de sa circonscription. Élu conseiller municipal de Muret en 1919, et réélu en 1922 après avoir démissionné, il conquit successivement, en mai 1925 la mairie, puis en juillet 1928 un siège de conseiller général dans le canton voisin de Carbonne.

  4. Vincent Auriol, né le 27 août 1884 à Revel (Haute-Garonne) et mort le 1er janvier 1966 à Paris, est un homme d'État français. Il est président de la République du 16 janvier 1947 au 16 janvier 1954.

  5. Vincent Auriol (* 27. August 1884 in Revel, Département Haute-Garonne; † 1. Januar 1966 in Paris) war ein französischer Staatsmann und sozialistischer Politiker. Er war von 1947 bis 1954 der 16. Präsident der Französischen Republik bzw. der erste Präsident der Vierten Republik und der Französischen Union, die bis 1958 Bestand hatte.

  6. Vincent Auriol, président de la République, serait l’exemple de la fermeté au service de la conciliation, mais souvent dans l’amertume de l’impuissance. Parce qu’il voulut être ferme devant la menace communiste et celle du RPF, il se fit l’agent de la conciliation des contraires en permettant la sédimentation de la Troisième Force.

  7. Premier Président de la IV e République, le socialiste Vincent Auriol, loin de se contenter « d’inaugurer les chrysanthèmes », développa une stratégie présidentialiste. Soucieux de défendre les prérogatives de sa fonction, le choix de son entourage à l’Élysée ne pouvait donc être secondaire. Ayant pressenti la personnalisation de la vie politique, il se dota de collaborateurs ...