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Matin d’Octobre. François Coppée. C’est l’heure exquise et matinale. Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale. Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. On peut les suivre. Du regard en reconnaissant.
Février - François Coppée. 19ème siècle, François Coppée, Poèmes. Hélas ! dis-tu, la froide neige. Recouvre le sol et les eaux ; Si le bon Dieu ne les protège, Le printemps n’aura plus d’oiseaux ! Rassure-toi, tendre peureuse ; Les doux chanteurs n’ont point péri. Sous plus d’une racine creuse.
Matin d’octobre. par François Coppée 24 Lectures 0 Votes. X. C’est l’heure exquise et matinale. Que rougit un soleil soudain. À travers la brume automnale. Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. On peut les suivre.
François Coppée dans Les Dernières Colonnes de l’Église de Léon Bloy; François Coppée par Han Ryner dans Prostitués en 1904; Guide bibliographique de la littérature française de 1800 à 1906 (1907), par Hugo P. Thieme
François Édouard Joachim Coppée (* 26. Januar 1842 in Paris ; † 23. Mai 1908 in Paris) war ein französischer Dichter , Dramatiker und Romanschriftsteller .
Ce recueil de poésie liste divers sonnets et poèmes intimes de François Coppée publiés en 1911. Le recueil Sonnets intimes et poèmes inédits (1911) : — À Aloys Blondel. — À deux îles. — À deux sœurs. — Adieux aux Eaux-Bonnes. — À Jeanne Lemerre. — À Madame la princesse Mathilde. — À Mademoiselle Anna Travers.
Le “poète des humbles”, le français François Coppée (1842-1908) est également dramaturge et romancier. Il s’aligne avec les Parnassiens, donnant à sa poésie une sensibilité délicate. Il se tourne ensuite vers le réalisme poétique et sentimental, choisissant comme sujets les scènes de faubourgs et de banlieue de Paris, ainsi que les rues du monde des pauvres.
