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  1. Superstition est une chanson de Stevie Wonder sortie en 1972 sur l'album Talking Book. Née d'une session d'improvisation entre le guitariste Jeff Beck et Stevie Wonder, les paroles de la chanson décrivent les superstitions populaires et leurs effets négatifs. Elle s'est classée no 1 dans les charts pop et R&B de l'époque aux États-Unis et au Royaume-Uni. En France, elle se classe à la ...

  2. Stevie Wonder. Stevie Wonder (1994) Stevie Wonder (* 13. Mai 1950 als Stevland Hardaway Judkins Morris in Saginaw, Michigan) ist ein US-amerikanischer Soul - und Pop -Sänger, Komponist, Multiinstrumentalist sowie Produzent. Seine ersten Erfolge feierte er ab 1961 mit dem Motown -Label, bei dem er noch heute seine Alben veröffentlicht. [1]

  3. —Review of Stevie Wonder's Greatest Hits Vol. 2 in Christgau's Record Guide: Rock Albums of the Seventies (1981) At the end of 1962, when Wonder was 12 years old, he joined the Motortown Revue, touring the "Chitlin' Circuit" of theatres across America that accepted black artists. At the Regal Theater, Chicago, his 20-minute performance was recorded and released in May 1963 as the album ...

  4. Paroles et musique Stevie Wonder. Enregistrement en 1972 au Electric Lady de New York, aux États-Unis. Cette chanson est née lors d’une session d’improvisation entre le musicien anglais Jeff Beck et Stevie Wonder fin mai 1972. Jeff Beck commence des battements de batterie, Stevie Wonder lui demande de continuer et l’accompagne avec son ...

  5. Superstition (노래) 〈 Superstition 〉은 미국 의 싱어송라이터 스티비 원더 의 노래다. 1972년 10월 24일, 타말라 의 열다섯 번째 스튜디오 음반 《 Talking Book 》 (1972년)의 리드 싱글로 발매되었다. [2] 그 가사는 인기 있는 미신 [3] 과 그들의 부정적인 영향을 묘사한다 ...

  6. Seven years of bad luck, good things in your past. Cuando crees en cosas. When you believe in things. Que no comprendes. That you don't understand. Entonces sufres. Then you suffer. La superstición no es el camino, no, no, no. Superstition ain't the way, no, no, no.

  7. 4 de nov. de 2017 · Stevie, en studio, s’est occupé de jouer du Moog Basse, de la batterie, et surtout de ce Hohner Clavinet qui est vraiment la signature sonore caractéristique de “Superstition”. Et il y a, bien sûr, cet incroyable riff à la trompette (Steve Madaio) et au saxophone (Trevor Laurence) qui relance la machine avec une implacable efficacité.