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  1. Les Rayons et les Ombres est un recueil de 44 poèmes écrits après 1830 et que Victor Hugo publie en 1840. Par cette publication, Victor Hugo prétend amener la poésie au plus près des hommes, leur faire parcourir des chemins universels, au-dessus des luttes et des partis.

  2. Les rayons et les ombres, de Victor Hugo. Quelques mots sur l'œuvre : Publiée en 1840, Les rayons et les ombres est une œuvre poétique de Victor Hugo. Le recueil Les rayons et les ombres (1840) : — À cette terre, où l'on ploie. — À Laure, duchesse d'A.

    • Fonction Du Poète
    • Le Sept Août 1829
    • Au Roi Louis-Philippe Après l’arrêt de Mort prononcé Le 12 Juillet 1839
    • Regard Jeté Dans Une Mansarde
    • On croyait Dans CES Temps Où Le Pâtre Nocturne
    • Sur Un Homme Populaire
    • Le Monde et Le siècle
    • À M. Le D. de ...
    • À Mademoiselle Fanny de P.
    • Comme Dans Les Étangs Assoupis Sous Les Bois

    I Pourquoi t’exiler, ô poëte, Dans la foule où nous te voyons ? Que sont pour ton âme inquiète Les partis, chaos sans rayons ? Dans leur atmosphère souillée Meurt ta poésie effeuillée ; Leur souffle égare ton encens ; Ton cœur, dans leurs luttes serviles, Est comme ces gazons des villes Rongés par les pieds des passants. Dans les brumeuses capitale...

    C’était le sept août. O sombre destinée ! C’était le premier jour de leur dernière année. Seuls dans un lieu royal, côte à côte marchant, Deux hommes, par endroits du coude se touchant, Causaient. Grand souvenir qui dans mon cœur se grave ! Le premier avait l’air fatigué, triste et grave, Comme un trop faible front qui porte un lourd projet. Une do...

    Par votre ange envolée ainsi qu’une colombe ! Par ce royal enfant, doux et frêle roseau ! Grâce encore une fois ! grâce au nom de la tombe ! Grâce au nom du berceau !

    I L’église est vaste et haute. À ses clochers superbes L’ogive en fleur suspend ses trèfles et ses gerbes ; Son portail resplendit, de sa rose pourvu ; Le soir fait fourmiller sous la voussure énorme Anges, vierges, le ciel, l’enfer sombre et difforme, Tout un monde effrayant comme un rêve entrevu. Mais ce n’est pas l’église, et ses voûtes sublimes...

    On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne, Loin dans l’air, au-dessus de son front taciturne, Voyait parfois, témoin par l’ombre recouvert, Dans un noir tourbillon de tonnerre et de pluie, Passer rapidement la figure éblouie D’un prophète emporté par l’Esprit au désert ! On croyait dans les jours du barde et du trouvère ! Quand tout un monde a...

    Ô peuple ! sous ce crâne où rien n’a pénétré, Sous l’auguste sourcil morose et vénéré Du tribun et du cénobite, Sous ce front dont un jour les révolutions Feront en l’entr’ouvrant sortir les visions. Une pensée affreuse habite. Dans l’Inde ainsi parfois le passant curieux Contemple avec respect un mont mystérieux. Cime des nuages touchée, Rêve et c...

    Que faites-vous, Seigneur ? à quoi sert votre ouvrage ? À quoi bon l’eau du fleuve et l’éclair de l’orage ? Les prés ? les ruisseaux purs qui lavent le gazon ? Et, sur les coteaux verts dont s’emplit l’horizon, Les immenses troupeaux aux fécondes haleines Que l’aboiement des chiens chasse à travers les plaines ? Pourquoi, dans ce doux mois où l’air...

    Jules, votre château, tour vieille et maison neuve, Se mire dans la Loire, à l'endroit où le fleuve, Sous Blois, élargissant son splendide bassin, Comme une mère presse un enfant sur son sein En lui parlant tout bas d'une voix recueillie, Serre une île charmante en ses bras qu'il replie. Vous avez tous les biens que l'homme peut tenir. Déjà vous so...

    Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l’enfant ! Soyez la fleur ; soyez l’aurore ! Quant au destin, n’y songez pas. Le ciel est noir, la vie est sombre. Hélas ! que fait l’homme ici-bas ? Un peu de bruit dans beaucoup d’ombre. Le sort est dur, nous le voyons, Enfant ! souvent l’œil plein de charmes Qu...

    Comme dans les étangs assoupis sous les bois, Dans plus d’une âme on voit deux choses à la fois, Le ciel, qui teint les eaux à peine remuées Avec tous ses rayons et toutes ses nuées, Et la vase, — fond morne, affreux, sombre et dormant, Où des reptiles noirs fourmillent vaguement.

  3. Les Rayons et les Ombres ("Beams and shadows", 1840) is a collection of forty-four poems by Victor Hugo, the last collection to be published before his exile, and containing most of his poems from between 1837 and 1840.

    • Victor Hugo
    • 1840
  4. 20 de jul. de 2008 · Les rayons et les ombres : Victor Hugo : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive. by. Victor Hugo. Publication date. 1840. Publisher. Laurent. Collection. europeanlibraries. Book from the collections of. Oxford University. Language. French.

  5. Les abris, les grottes discrètes, Et l’oubli pour trouver l’amour, Et le silence afin d’entendre. La voix d’en haut, sévère et tendre, Et l’ombre afin de voir le jour ! Va dans les bois ! va sur les plages ! Compose tes chants inspirés. Avec la chanson des feuillages. Et l’hymne des flots apurés !

  6. Les rayons et les ombres. by. Hugo, Victor, 1802-1885. Publication date. 1840. Publisher. Bruxelles : A. Jamar. Collection. sablecentre; universityofottawa; kellylibrary; toronto.