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  1. (FR) Jean-François de Saint-Lambert, su www.academie-francaise.fr, Académie française. (FR) Jean-François de Saint-Lambert, su CÉSAR - Calendrier Électronique des Spectacles sous l'Ancien régime et sous la Révolution, Huma-Num. Opere di Jean-François de Saint-Lambert, su MLOL, Horizons Unlimited. (EN) Opere di Jean-François de Saint ...

  2. Poème: La bourrasque d'été, Jean-François de SAINT-LAMBERT. Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à titre gratuit.

  3. 27 de feb. de 2019 · Issu d’une famille noble mais peu fortunée, Jean-François de Saint-Lambert nait à Nancy le 26 décembre 1716. Il passe sa jeunesse à Affracourt, fait ses études au collège de Pont-à-Mousson puis sert dans les gardes lorraines du roi Stanislas Leszczyński, avant de devenir grand-maître de sa garde-robe. L’Amour

  4. From Wikimedia Commons, the free media repository. Jean François de Saint-Lambert (December 26, 1716 – February 9, 1803), was a French poetand philosopher. Category: Jean-François de Saint-Lambert.

  5. Jean-François, marquis de Saint-Lambert, né à Nancy le 26 décembre 1716 et mort à Paris le 9 février 1803, est un militaire, philosophe, conteur et poète lorrain puis, après 1766, français. Issu d’une famille noble mais peu fortunée, Jean-François de Saint-Lambert fit ses études au collège de Pont-à-Mousson puis servit dans les gardes lorraines du roi Stanislas Leszczyński ...

  6. L’ABÉNAKI. Pendant les dernières guerres de l’Amérique, une troupe de Sauvages Abénakis défit un détachement Anglois ; les vaincus ne purent échapper à des ennemis plus légers qu’eux à la course, & acharnés à les poursuivre ; ils furent traités avec une barbarie dont il y a peu d’exemples, même dans ces contrées.

  7. Les esprits sulphureux, les sels, l’huile étérée, Dispersés par ces vents de contrée en contrée, Rajeunissent la terre, & vont rendre féconds. Ces champs couverts de chaume, usés par les moissons. Hiver, cruel hiver, toi qui sembles détruire, Tu rends à nos sillons la force de produire :