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Jean-Baptiste Philibert Vaillant [2], né le 6 décembre 1790 à Dijon et mort le 4 juin 1872 à Paris, est un homme politique et militaire français, maréchal de France en 1851, puis sénateur en 1852, ministre de la Guerre de 1854 à 1859, ministre de la maison de l'Empereur de 1860 à 1870, et ministre des Beaux-Arts de 1863 à 1870.
Jean-Baptiste Philibert Vaillant, 1st Comte Vaillant (6 December 1790 – 4 June 1872), born in Dijon, was a Marshal of France. Biography. Vaillant entered the French army in 1809 in the corps of engineers. He served in the French invasion of Russia (1812) and the next year became a prisoner of war after the Battle of Kulm.
VAILLANT (JEAN-BAPTISTE-PHILIBERT, COMTE), sénateur du Second Empire et ministre, né à Dijon (Côte-d'Or) le 6 décembre 1790, mort à Dijon le 4 juin 1872, fit ses études à Dijon, entra en 1807 à l'École polytechnique, en sortit dans le génie, après un court stage à l'école de Metz, et devint sous-lieutenant le 1 er octobre 1809.
« Jean-Baptiste-Philibert Vaillant ». Les ministres de la Guerre, 1792-1870 , édité par Édouard Ebel, Presses universitaires de Rennes, 2018, https://doi.org/10.4000/books.pur.169571. Référence numérique du livre
Jean-Baptiste Philibert Vaillant. Maréchal de France (Dijon 1790-Paris 1872). Il participa aux campagnes de Russie (1812) et d'Allemagne (1813) avant de participer à la prise d'Alger (1830). Ministre de la Guerre de 1854 à 1859, il fut nommé en 1859 commandant en chef de l'armée d'Italie. (Académie des sciences, 1853.)
vaillant, jean-baptiste philibert. Maréchal de France. - Ministre de la Guerre (1854-1859), ministre de la Maison de l'Empereur (1860-1870) ( Source DataBNF) Ses notices bibliographiques ailleurs sur la toile. Sa production dans Persée. Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (1 publication en 1864)
Jean-Baptiste-Philibert Vaillant, maréchal de France, né à Dijon en 1790, ministre de la Guerre de 1854 à 1859, est en 1863 ministre de la Maison de l’Empereur. Celui-ci ajoute alors à ses responsabilités celle de ministre des Beaux-Arts, qu’il conservera jusqu’en 1870.
