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  1. Émile Ollivier, né le 2 juillet 1825 à Marseille ( France) et mort le 20 août 1913 à Saint-Gervais-les-Bains, est un homme d'État français. D'abord avocat, puis préfet sous la Deuxième République, il est élu député républicain sous le Second Empire.

  2. Olivier Émile Ollivier (2 de julio de 1825 - 20 de agosto de 1913) fue un estadista francés. Ávido republicano opuesto al emperador Napoleón III en sus inicios, fue ganando influencia sobre el emperador y lo empujó hacia las reformas liberales y, a su vez, se fue apoderando cada vez más de Napoleón.

  3. Avocat, orateur parlementaire, publiciste, il fut député de Paris en 1857 et l'un des cinq opposants à l'Empire ; réélu en 1863, il se rapprocha du gouvernement impérial et fut ardemment combattu aux élections de 1869 ; il échoua à Paris mais fut élu dans le Var. Rallié à l'Empire libéral, il devint premier ministre avec le ...

  4. Olivier Émile Ollivier (French: [emil ɔlivje]; 2 July 1825 – 20 August 1913) was a French statesman. Starting as an avid republican opposed to Emperor Napoleon III , he pushed the Emperor toward liberal reforms and in turn came increasingly into Napoleon's grip.

    • Personal rule of Napoleon III between 1852 and 1869. Previous Prime Minister: Léon Faucher (1852)
  5. Comme son adversaire Adolphe Thiers, Émile Ollivier est né à Marseille. Grandi dans un milieu républicain (son père a protégé Mazzini réfugié à Marseille), il est, tout jeune, commissaire de la République dans les Bouches-du-Rhône et le Var au lendemain de la révolution de février 1848.

  6. Émile Ollivier was a French statesman, writer, and orator who, as minister of justice under Napoleon III, authored an abortive plan for achieving a governmental compromise between Napoleonic autocracy and parliamentary democracy.

  7. Le 25 mai 1864, le Corps législatif adopte la loi dite « loi Émile Ollivier », du nom de son rapporteur, député républicain de la Seine. Cette loi autorise la « coalition des ouvriers », c’est-à-dire la grève qui cesse d’être un délit sauf en cas de violence, de menaces ou d’atteintes à la liberté du travail. M. Ollivier, rapporteur : [...]