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  1. Pradier s’est inspiré de l’histoire du Roi Candaule écrite en 1844 par Théophile Gautier. Nyssia, d’une beauté hors du commun, venge sa pudeur outragée en tuant son mari, le prince grec Candaule qui la donnée à voir à son propre ami pour lui montrer sa beauté alors qu’elle est à sa toilette. C’est une des sculptures les plus ...

  2. A LA UNE. LE PEINTRE GIACOMOTTI, AMI DE JOHN PRADIER. Né en 1828, prix de Rome en 1854, le peintre Félix-Henri. Giacomotti expose au Salon presque sans interruption. jusqu'à sa mort en 1909. Il fait le portrait de John Pradier, peintre, lui aussi, et entretient avec lui des relations. amicales pendant de longues années.

  3. Claude Lapaire, James Pradier et la sculpture française de la génération romantique (1790-1852). Catalogue raisonné, comprenant 578 œuvres répertoriés, Lausanne-Zurich, Institut suisse pour l'étude de l'art (SIK-ISEA), Milan 5 continents Éditions, 2010, 1 volume relié, texte en français, 504 p., 800 illustrations en bichromie ( ISBN 978-88-7439-531-6 ).

  4. James Pradier meurt le 4 juin 1852, à 62 ans, d’une crise d’apoplexie survenue à Bougival lors d’une excursion à laquelle participent notamment sa fille benjamine Thérèse, l’institutrice de celle-ci nommée Adeline Chômat, Noémi Constant et Eugène Guillaume, respectivement élève et ancien élève de Pradier.

  5. Sculptures de James Pradier, Genève, Musée d'Art et d'Histoire de Genève / Chaîne d'Éditions, 1985, pp. 198-203. Guillaume Garnier, James Pradier (1790-1852), thèse inédite, École des Chartes, 1978, passim. Philippe Bordes, « La fontaine de l'Esplanade par Charles Questel et James Pradier.

  6. Pradier was born in 1790 in Geneva to a family of horologists, like his celebrated namesake Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). He apprenticed as a watchcase engraver and then trained at Geneva's Ecole de Dessin before joining his elder brother, engraver Charles-Simon Pradier, in Paris around 1807-1808. He entered the Ecole des Beaux-Arts and ...

  7. James Pradier, Vue de Genève. Dessin, vers 1832. Genève, Musée d'art et d'histoire. Très tôt, Pradier entre comme apprenti chez un bijoutier-horloger, tout en étant inscrit à l’école de dessin de Genève. En 1807-1808, il rejoint à Paris son frère aîné Charles-Simon, graveur.