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  1. Apollonie Sabatier. Apollonie Sabatier, nama samaran Aglaé Joséphine Savatier, [1] lahir 7 April 1822 [2] di Mézières dan meninggal 3 Januari 1890 [3] di Neuilly-sur-Seine, merupakan seorang pelukis, demi-mondaine dan salonnière Prancis .

  2. Apollonie Sabatier (née Aglaé Joséphine Savatier ; [2] 8 avril 1822 [3] - 3 janvier 1890) [4] était une courtisane française , titulaire de salon, muse d'artistes et bohémienne dans les années 1850 à Paris .

  3. Apollonie Sabatier, född 7 april 1822 i Mézières, Frankrike, död 3 januari 1890 i Paris, var en fransk modell, kurtisan och salongsvärd. Hon tillhörde de mest berömda av de så kallade demimonderna eller grande horizontales , kollektivt kallade La garde , i andra kejsardömets Paris.

  4. Apollonie Sabatier, known as ‘la Présidente,’ served as model, among others, for the statue of the Woman Bitten by a Snake by Clésinger, and inspired the poem À celle qui est trop gaie by Baudelaire, two works deemed scandalous at the time of their exhibition and publication. Clésinger's statue gave notably rise to a heated debate in the press in 1847, while Baudelaire's poem was ...

  5. De toutes les femmes qui ont joué un rôle important dans la vie de Baudelaire, madame Sabatier - la Présidente - est sans doute celle sur laquelle on a le plus écrit. Pourtant, Une femme trop gaie enrichit et modifie le regard porté sur l’héroïne et son destin. L’auteur parvient en effet à éclairer les zones d’ombre entretenues par Edmond Richard, dernier amant et premier ...

  6. Apollonie Sabatier, seudónimo de Aglaé Joséphine Savatier (7 de abril de 1822, Mézières - 3 de enero de 1890, Neuilly-sur-Seine) fue una demi mondaine y salonnière francesa. (es) Apollonie Sabatier, nama samaran Aglaé Joséphine Savatier, lahir 7 April 1822 di dan meninggal 3 Januari 1890 di Neuilly-sur-Seine, merupakan seorang pelukis, dan Prancis.

  7. Apollonie Sabatier, La Présidente. 25, October 2012. / Personaggi. Vincent Vidal, Apollonié Sabatier. “…Ces robes folles sont l’emblème. De ton esprit bariolé; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t’aime!…”. C. Baudelaire, À Celle qui est trop gaie.