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Charles Louis de Saulces de Freycinet (Foix, 14 de Novembro de 1828 - Paris, 14 de Maio de 1923) foi um estadista francês e quatro vezes primeiro-ministro durante a Terceira República. Ele também cumpriu um mandato importante como Ministro da Guerra (1888-1893).
Charles-Louis de Saulces de Freycinet, plus couramment appelé Charles de Freycinet, est né en 1828. Mort en 1923, il a donc traversé le xixe siècle mais aussi connu la Belle Époque et la Première Guerre mondiale. Quatre fois président du Conseil, sept fois ministre de la Guerre – le premier civil à occuper la fonc-
Charles Louis de Saulces de Freycinet (French: [ʃaʁl də fʁɛjsinɛ]; 14 November 1828 – 14 May 1923) was a French statesman and four times Prime Minister during the Third Republic. He also served an important term as Minister of War (1888–1893). He belonged to the Opportunist Republicans faction. He was elected a member of the Academy of Sciences, and in 1890, the fourteenth member to ...
Charles Louis de Saulces de Freycinet, nacido el 14 de noviembre de 1828 en Foix, y fallecido el 14 de mayo de 1923 en París, fue un político e ingeniero francés, activo durante la Tercera República Francesa, en la que ocupó en varias ocasiones el cargo de presidente del Consejo de Ministros.
English: Charles Louis de Saulces de Freycinet (French pronunciation: [ʃaʁl də fʁɛjsinɛ]; 14 November 1828 – 14 May 1923) was a French statesman and Prime Minister during the Third Republic; he belonged to the Opportunist Republicans faction. He was elected a member of the Academy of Sciences, and in 1890, the fourteen member to occupy ...
Sans doute les ingénieurs euxmêmes, Charles de Freycinet compris, qui ont patiemment construit leur légitimité dès le xixe siècle dans une représentation descendante et linéaire de l’innovation, les situant eux-mêmes dans un modeste tâche d’exécution, étanche à toutes les perturbations mondaines 4.
2 Charles de Freycinet, Souvenirs, Paris, Éditions Charles de la Grave, t. 1, 1912-1913, p. 25. 3 Dans ses Souvenirs Freycinet résume bien l’inquiétude que suscitait le retard français par rapport à ses voisins : « À Dunkerque, je trouvai une population toute frémissante du voisinage d’Anvers et qui mesurait avec désespoir son infériorité.
