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  1. James Pradier, pseudonyme de Jean-Jacques Pradier, né à Genève le 23 mai 1790 et mort à Bougival le 4 juin 1852, est un sculpteur et peintre franco-suisse [2]. Apprécié de son vivant, il fut considéré comme l'un des plus grands sculpteurs de son époque, jusqu'à sa mort sous le Second Empire .

  2. James Pradier (* 23. Mai 1790 in Genf; † 4. Juni 1852 in Rueil bei Paris; (eigentlich Jean Jacques Pradier)) war ein französisch-schweizerischer Bildhauer

  3. Statues de chair. Sculptures de James Pradier (1790-1852) - musée d'Art et d'Histoire - Suisse, Genève, 1985-1986, n° 22

  4. 21 de jul. de 2020 · Site de la boutique Méounes Antiquités. 21 place de l’église. 83136, Méounes-les-Montrieux. Contact. Nous contacter par email. 04 94 33 98 58. Officier de la Légion d’Honneur, professeur à l’école des beaux-arts, James Pradier nous a laissé les plus belles sculptures réalisées au XIXe siècle.

  5. A LA UNE. LE PEINTRE GIACOMOTTI, AMI DE JOHN PRADIER. Né en 1828, prix de Rome en 1854, le peintre Félix-Henri. Giacomotti expose au Salon presque sans interruption. jusqu'à sa mort en 1909. Il fait le portrait de John Pradier, peintre, lui aussi, et entretient avec lui des relations. amicales pendant de longues années.

  6. Claude Lapaire, James Pradier et la sculpture française de la génération romantique (1790-1852). Catalogue raisonné, comprenant 578 œuvres répertoriés, Lausanne-Zurich, Institut suisse pour l'étude de l'art (SIK-ISEA), Milan 5 continents Éditions, 2010, 1 volume relié, texte en français, 504 p., 800 illustrations en bichromie ( ISBN 978-88-7439-531-6 ).

  7. Par le biais de la vue étroite et privilégiée que Pradier ménage du sexe dévoilé du personnage, la Pandore « impudique » invoque un éventail de croyances ataviques sur la « fenestralité » de la femme et bien d’autres choses encore concernant la féminité, ses milieux, ses conduites et sa disponibilité.