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  1. La République, orpheline de ses héros, peut-elle se raccrocher au quatuor des Jules, Favre, Simon, Ferry et Grévy ? Le premier, discrédité par ses échecs diplomatiques lors de la guerre de 1870 comme par son hostilité farouche à la Commune, s’est mis en retrait de la République depuis l’été 1871, à l’Assemblée nationale puis au Sénat.

    • Jean Garrigues
    • 2019
  2. Le 4 septembre 1870, les Parisiens proclament la République (c'est la IIIe du nom). En souvenir de ce jour, de nombreuses rues de France portent le nom du « Quatre Septembre ». C'est après avoir appris la capture de l'empereur Napoléon III par les Prussiens à Sedan que les républicains de la capitale ont pris le pouvoir.

  3. 29 de ene. de 1971 · Les Jules, et leur acolyte Picard, sont terrifiés à l'idée d'une République socialiste qui, pour la première fois l'année précédente, aux élections, leur est apparue possible et menaçante.

  4. Le Dimanche 4 septembre 1870, Jules Simon proclame la République sur la place de la Concorde. Auteur : DELANCE Paul-Louis. Lieu de conservation : Agence photo RMN-GP, fonds Druet-Vizzavona (Paris) site web. Date de création : 1910. Date représentée : 04 septembre 1870. Domaine : Peintures.

    • François BOULOC
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    Peu de jours avant l'élection partielle de janvier 1889 à Paris, qui fut un triomphe pour le général Boulanger, Jules Simon, ancien ministre de l'Instruction publique, publiait un petit livre au titre sans équivoque : Souviens-toi du Deux-Décembre. L'auteur était un républicain modéré, un des membres de « la république des Jules » (Favre, Ferry, Si...

    Dans ce pamphlet, Jules Simon se livre à une comparaison entre le général Boulanger et le prince Louis-Napoléon Bonaparte, entre 1889 et 1848, et déplore le goût des Français pour les « idoles ». Il se déclare en faveur de son adversaire Jacques, le radical, dont il n'aime pas l'anticléricalisme exagéré, car il faut à tout prix que Boulanger soit b...

    Quelle que soit la tendance contemporaine à réhabiliter Napoléon III [2] , il faut se garder d'oublier le caractère policier du régime qui se met en place au lendemain du coup d'État. Se posant comme le réconciliateur des principes d'autorité et de démocratie, le prince-président avait rétabli le suffrage universel (masculin) dans sa plénitude, en ...

    Parler de « deux partis républicains » est sans doute abusif. D'abord parce qu'il n'existait pas de parti à proprement parler. Ensuite parce que les tendances, les sensibilités, les écoles, n'étaient pas réductibles à deux courants. Assumant toutefois la simplification, on peut dire qu'il y eut contre l'Empire un parti républicain libéral et un par...

    Elle reposait aussi sur une analyse qui n'était pas dénuée de fondement. La France comptait plus de la moitié de sa population active aux travaux des champs ; les paysans, en grand nombre propriétaires, soutiennent l'empereur, lequel les protège contre deux dangers : celui de l'aristocratie foncière et celui des « partageux ». Pour Jules Ferry, le ...

    L'échec de la IIe République a convaincu beaucoup de ces hommes de la nécessité d'un apprentissage. Le suffrage universel n'inspire pas nécessairement la meilleure des politiques. C'est sur lui que s'appuie la dictature bonapartiste ; c'est sur lui aussi que s'appuiera toute nouvelle légitimité. Il faut donc l'éduquer. Un enseignement obligatoire, ...

    Tout autre est le groupe des blanquistes. Eux, ce qu'ils admirent dans la Révolution, ce n'est point Robespierre, mais la Commune de 1793 et Hébert, « gloire éternelle de la plèbe ». Louis Blanqui, le chef, « l'enferme » légendaire qui, à la fin de l'Empire, fait des navettes entre Paris et Bruxelles, a une conception de la lutte toute militaire. H...

    Au total, les républicains modères ont plus d'audience que les révolutionnaires. En 1857, ils avaient cinq députés, acceptant de prêter serment à l'Empire pour pouvoir siéger. En 1869, ils forment le gros de l'opposition républicaine, forte alors de trente députés. A petits pas, ils inscrivent leurs idées dans la loi. L'un d'eux est même passé carr...

    Les révolutionnaires, cependant, ne manquent pas d'atouts. Dans leur virulence, ils n'acceptent pas l'hégémonie des « libéraux » : « Définissons d'abord le libéral, écrit l'un d'eux, futur communard : c'est un avorton issu du flanc bourgeois de la Révolution de 1789 qui entend par liberté le privilège de jouir du statu quo social, du collège, des d...

    Ils ont surtout pour eux, ces révolutionnaires, d'être concentrés à Paris, là où les révolutions ont toujours eu lieu, dans une capitale qui s'oppose au régime aussi bien lors des élections de 1869 qu'à l'occasion du plébiscite de l'année suivante. En février 1870, pour les funérailles de Victor Noir, journaliste tué d'une balle par Pierre Bonapart...

    Celui-ci avait un fidèle de bon conseil, Eugène Spuller. Une lettre de lui datant du 13 juin 1871 est particulièrement explicite sur la conduite qu'adopte alors Gambetta : « Ce n 'est pas la République, tant s'en faut, mais pour nous rendre dignes de la fonder et de la posséder enfin, sachons au moins une bonne fois, après tant d'expériences malheu...

    De fait, Léon Gambetta, abandonnant provisoirement les aspects les plus rudes du programme de Belleville, sur lequel il avait été élu en 1869, se plia avec la plus grande souplesse aux nécessités de l'heure. Son action se résume en deux volets : parcourir le pays pour offrir à toutes les couches de la population l'image d'une politique sage et pond...

    Joseph Reinach a pieusement rassemblé, entre 1881 et 1885, les Discours et plaidoyers politiques de M. Gambetta en onze volumes. Ces textes illustrent le fond de la politique dite « opportuniste » : Gambetta rassure « les intérêts », flétrit l'Empire comme régime d'aventure, dénonce le danger d'un retour à l'esprit d'Ancien Régime, défend les princ...

    Gambetta était devenu célèbre du jour au lendemain, en 1868, par sa plaidoirie lors du procès Baudin. Son client était Delescluze, patron du Réveil, qui avait ouvert une souscription aux fins de restaurer la tombe de Baudin, député de la IIe République tué sur une barricade dans les suites du coup d'État du 2 décembre 1851. Sa défense avait été une...

    Le régime républicain, qui avait ete long à prendre ses caractères définitifs, s'affirmait avant tout contre toutes les prétentions de l'Exécutif. On gardait un président, soit ! mais il n'avait d'aucune façon l'autorité d'un Mac-Mahon et encore moins celle que voulaient lui donner Déroulède et autres « plébiscitaires » favorables à une institution...

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  6. Mis à jour le : 15 décembre 2022. Jules Grévy (1807-1891) est président de la République française de 1879 à 1887. Il est le troisième président de la IIIe République.